
Sophie Moisan, artiste photographe, réside et exerce son art à Ivry-sur-Seine, en France. Elle a développé au fil des années une vision artistique singulière et profondément personnelle, empreinte d’émotion et d’intimité. Son approche photographique, inspirée de l’impressionnisme, transcende la réalité : elle floute, altère et poétise ses images pour évoquer des états d’âme, des souvenirs ou des résonances oniriques. Son travail navigue entre la réalité tangible et la perception émotionnelle, créant une atmosphère mystérieuse et sensorielle.
Dès son enfance, elle a été captivée par la profession de sa mère, photographe reporter, qui avait aménagé son laboratoire photo à son domicile. Les moments passés avec elle à développer des clichés sous la douce lumière rouge, restent pour Sophie des instants inoubliables, des souvenirs magiques. Dès l’âge de sept ans, Sophie a voulu faire comme sa mère avec un simple appareil « boîte à savon ». Sa toute première image, bien que peu flatteuse, était empreinte d’une certaine conceptualité. Sophie a immortalisé la crotte du chien de son oncle.
Par la suite, elle s’est perfectionnée à l’École Supérieure de Réalisations Audiovisuelles (ESRA), avant de se tourner vers le secteur publicitaire en tant que conceptrice-rédactrice chez RSCG Havas et Dassas Jaglin, et plus tard comme scénariste pour France Télévisions.
Et puis, un événement bouleversant l’a ramenée à sa passion première : la photographie.
Pour elle, la photographie est bien plus qu’une simple capture de la réalité extérieure ; c’est une exploration impressionniste de son monde intérieur et de ses émotions, c’est explorer l’intérieur autant que capter l’extérieur. A travers son travail, Sophie cherche à susciter l’émotion chez le spectateur, à le transporter dans un univers où la frontière entre réalité et imagination s’estompe, l’incitant à projeter dans la photo sa propre réalité, ses propres souvenirs. Pour cela, Sophie transforme l’image à la prise de vue en introduisant des flous, des déformations, des pixels pour traduire la poésie de moments de vie simples et quotidiens d’un monde qu’elle parcourt souvent sous la pluie. Car pour Sophie, ces gouttes de pluie éphémères expriment la beauté fragile de la vie, mais peuvent aussi être perçues comme des larmes de pluie, des larmes nostalgiques mais aussi des larmes de plaisir, l’expression d’un indicible bonheur.
Par la suite, elle s’est perfectionnée à l’École Supérieure de Réalisations Audiovisuelles (ESRA), avant de se tourner vers le secteur publicitaire en tant que conceptrice-rédactrice chez RSCG Havas et Dassas Jaglin, et plus tard comme scénariste pour France Télévisions.
Et puis, un événement bouleversant l’a ramenée à sa passion première : la photographie.
Pour elle, la photographie est bien plus qu’une simple capture de la réalité extérieure ; c’est une exploration impressionniste de son monde intérieur et de ses émotions, c’est explorer l’intérieur autant que capter l’extérieur. A travers son travail, Sophie cherche à susciter l’émotion chez le spectateur, à le transporter dans un univers où la frontière entre réalité et imagination s’estompe, l’incitant à projeter dans la photo sa propre réalité, ses propres souvenirs. Pour cela, Sophie transforme l’image à la prise de vue en introduisant des flous, des déformations, des pixels pour traduire la poésie de moments de vie simples et quotidiens d’un monde qu’elle parcourt souvent sous la pluie. Car pour Sophie, ces gouttes de pluie éphémères expriment la beauté fragile de la vie, mais peuvent aussi être perçues comme des larmes de pluie, des larmes nostalgiques mais aussi des larmes de plaisir, l’expression d’un indicible bonheur.